Mousse chocolat blanc et cerises

Aux demandes répétées d’un de mes fils qui est actuellement à la maison, j’ai préparé des verrines de mousses au chocolat blanc : nature pour lui et aux cerises pour nous. Malgré la chaleur, elles sont vite parties, l’alliance des cerises au chocolat blanc rend la mousse encore plus douce et gourmande.

Mousse chocolat blanc et cerises

Pour 5 verrines :
180 g de chocolat blanc à pâtisser
200 g de crème liquide bien froide ( au frigo depuis la veille)
une vingtaine de cerises bien mûres + 5 pour la présentation.

Mettre un saladier et les fouets du batteur au congélateur.
Laver les cerises , les essuyer, les dénoyauter et les couper en 4 (sauf 5). Les mettre dans une petite casserole avec 1 CS d’eau, porter à ébullition et cuire à feu doux pendant 5 min, laisser refroidir.
Faire fondre le chocolat blanc au bain-marie, puis laisser tiédir.
Verser la crème dans le saladier bien froid et la monter en chantilly.
Ajouter peu à peu la crème dans le chocolat en mélangeant avec précaution.
Déposer une couche de mousse dans chaque verrine, puis une couche de cerises, une couche de mousse, etc. Mettre au frais au minimum 1 h.
Au moment de servir, déposer une cerise sur le dessus.

Bûche exotique

Voici la bûche que j’ai réalisée pour le jour de Noël. J’ai voulu un dessert léger et frais en bouche : une pâte de biscuit roulé, une mousse mascarpone sans crème fouettée et des fruits en décoration. J’avais prévu une mousse mangue-passion, mais la mangue achetée quelques jours avant n’était toujours pas mûre, j’ai donc utilisé un jus de fruit sans sucre ajouté.
A faire la veille sauf la décoration.

Bûche exotique

pour le biscuit roulé :
4 oeufs
100 g de sucre
100 g de farine
1 gousse de vanille

Battre les jaunes d’oeuf avec le sucre et les graines de la gousse de vanille jusqu’à obtenir une préparation mousseuse. Ajouter le farine, mélanger.
Monter les blancs en neige et les incorporer délicatement à la préparation.
Tapisser une plaque métallique de papier cuisson, verser la pâte sur une épaisseur d’un cm et lisser.
Cuire au four préchauffé à 180°C pendant 10 min.
Sortir le biscuit du four et le recouvrir d’un torchon mouillé, puis d’un grand support plan (planche ou plaque à four). Retourner le tout, retirer le moule, puis le papier cuisson et enrouler le biscuit avec le torchon, laisser refroidir.

mousse mascarpone :
250 g de mascarpone
45 g de sucre + 1CC
2 jaunes d’oeuf
3 blancs d’oeuf
5 fruits de la passion
2 feuilles de gélatine
20 cL de jus de fruit exotique (j’ai utilisé un jus orange-mangue)

Faire tremper la gélatine dans un bol d’eau froide pendant une dizaine de minutes.
Tiédir le jus de fruit exotique et y dissoudre la gélatine essorée.
Fouetter les jaunes d’oeuf avec le sucre, ajouter le mascarpone, puis le jus de fruit et la pulpe tamisée des fruits de la passion.(garder éventuellement les coques pour la présentation)
Battre les blancs d’oeuf en neige en les serrant avec la CC de sucre et les incorporer délicatement au mélange.
Laisser prendre la mousse au froid. (en ce moment, dehors c’est très rapide, 1 h a suffi).

Sirop :

Mélanger 7,5 cL de jus de fruit exotique avec 5 cL de sirop de sucre de canne.

Montage : dérouler le biscuit, l’imbiber du sirop, puis y étaler une belle couche de mousse. Rouler en s’aidant du torchon, emballer dans un film alimentaire et garder au froid jusqu’au lendemain.

Le jour même : ôter le film alimentaire et déposer la bûche sur le plat de service. Couvrir le dessus de mousse et y enfoncer des tranches de fruits (kiwi, banane, clémentine, carambole). Remplir les coques de fruit de la passion de mousse et les disposer autour de la bûche.
Réserver au frais jusqu’au moment de servir.

 

 

 

 

Mousse légère à la rhubarbe, gelée d’hibiscus

Deux semaines sans ordinateur, et donc sans Internet, c’est bien long !! Et c’est là qu’on se rend compte qu’il devient difficile de s’en passer. Après avoir cherché vainement virus et autres indésirables, il a finalement fallu investir dans du nouveau matériel.
Pour redémarrer, voici le dessert imaginé le week-end dernier, très léger en bouche et pas trop calorique. L’onctuosité de la mousse s’harmonise bien avec l’acidité de la rhubarbe (un dernier paquet au congélateur).
A préparer quelques heures à l’avance.

Verrine légère à la rhubarbe, gelée d’hibiscus

Pour 4 verres :

Compote de rhubarbe :
500 g de rhubarbe
50 g de sucre

Couper la rhubarbe en tronçons, ajouter le sucre, laisser macérer quelques heures (ou une nuit), égoutter pour éliminer le jus rendu et cuire la rhubarbe en compote, goûter et ajuster la quantité de sucre.
Répartir au fond des verres.

Gelée d’hibiscus
20 cL d’eau
2 CS de sucre
1 CS de
fleurs d’hibiscus séchées
1 feuille de gélatine

Porter l’eau et le sucre à
ébullition, éteindre le feu, y jeter les fleurs d’hibiscus
et laisser infuser 1 h.
Faire tremper la gélatine
dans l’eau froide pendant 10 min.
Tiédir l’infusion et y ajouter la
gélatine essorée.
Filtrer, garder éventuellement les pétales de
fleurs pour la présentation.
Verser un peu du jus filtré sur la compote de rhubarbe, puis laisser refroidir le reste au frigo jusqu’à ce
qu’il commence à prendre.

Mousse vanille :
4 petits suisses
50 g de sucre
1 gousse de vanille
1 CS de lait
1/2 feuille de gélatine
2 blancs en neige
1 CS de sucre

Faire ramollir la gélatine dans un bol d’eau froide pendant 10 min.
Fouetter les petits suisses avec le sucre et les graines de la gousse de vanille, pour obtenir une consistance onctueuse.
Tiédir le lait, y faire fondre la gélatine essorée et ajouter aux petits suisses.
Monter les blancs en neige, ajouter 1 CS de sucre et finir de les serrer.
Ajouter délicatement à la préparation, puis déposer dans la verrine.
Verser la gelée qui commence à prendre sur la mousse à la vanille.
Réserver au frais jusqu’au moment de servir.